Bleus de Chine

La porcelaine bleue et blanche que les portugais rapportent de Chine à la fin du XVIe

siècle , appelée Kraak ( de caraque, navire marchand) ouvre la voie à un florissant

marché. Les techniques ancestrales des potiers de Jingdezhen au nord de Canton,

leur usage d’oxyde de cobalt pour un bleu profond (plus cher que l’or et le thé) et les

secrets de glaçage à haute température imposent un engouement inégalé sur les

tables raffinées d’Europe.

Une évocation de ces bleus de Chine réinterprétés sur textile.

Atelier Boem édition textile propose les nouveaux motifs 2024, une collection autour de la Compagnie des Indes.